• Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?

    Finis les pleins alimentaires au supermarché pour ce couple canadien. Désormais, ils produisent tout eux mêmes... dans la joie, et la bonne humeur !

    copié/collé de positivr.fr - Par Axel Leclercq
     
    Atteindre l’autosuffisance alimentaire peut sembler utopique. Surtout quand vous avez déjà des enfants et un boulot qui vous occupe à plein temps. Pourtant, cette utopie, Robin LeBlanc et Rebecca Huot en ont fait une réalité… À force de passion, de patience et de bon sens, ce couple de canadiens est en effet parvenu à produire une nourriture riche, variée et biologique en quantité plus que suffisante pour toute la famille ! Rencontre avec une famille en or…
     
    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     Source : Ici Radio Canada
     
    Robin LeBlanc et Rebecca Huot, tous deux enseignants, ont acheté une ferme dans le Nouveau-Brunswick. Leur objectif : viser l’autonomie alimentaire… mais pas à n’importe quelle condition : pour Rebecca, il était hors de question que cette ambition les prive de quoi que ce soit !

     « Je n’allais pas me contenter de manger des carottes et des navets. »

    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     
    Le couple a donc énormément bossé et étudié un maximum de techniques agricoles pour diversifier au maximum tout ce qu’il comptait produire. Et, aujourd'hui, le résultat est là. Robin LeBlanc et Rebecca Huot ne manquent de rien. Ils ont des fruits et des légumes à ne plus savoir qu’en faire, mais pas seulement : ils ont aussi de la viande, des huiles, du lait, des céréales du fromage, du cidre, des sauces, des pâtes et toute sorte de conserve à n’en plus finir !
     

     

     

    Rebecca Huot :

    « Moi, j’ai pas de stress à savoir d’où vient ma nourriture, j’ai pas de stress sur le bio, j’ai pas de stress à me demander si ce que me dit l’agriculteur est vrai. Moi, je n’ai pas ça parce que je mange toujours bio et local. »

    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     

    Robin LeBlanc :

    « Je n’en reviens pas qu’on puisse faire tout ça. Qu’il y ait de la nourriture qui rentre dans les congélateurs alors qu’il nous en reste encore de l’année d’avant et que la salle de conserves est encore pleine…  Je n’en reviens pas (…) On s’en va vers quelque chose de nouveau. je n’ai pas du tout l’impression de reculer. »

    Voilà une belle expérience particulièrement réussie et inspirante !
     
    « Construction naturelle dans une ruche qui n'avait pas de cadreLes maisons kerterres »

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