• A tous les sportifs et moins sportifs,
     
    Un futur participant d'InnoPark, Yann Rithner, se lance dans un magnifique projet: participer au
     
     "Championnat du monde de Xterra" 
     
    qui est en quelque sorte, une course qui fait passer le triathlon pour une ballade de santé et qui se revendique comme étant le petit frère de l'IRONMAN !

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  • tout seul

    2013

    • C'est l'année où l'Initiative Citoyenne Européenne pour le Revenu de base a été validée par la Commission.
    • C'est l'année où la Suisse devrait recueillir son quota de signatures pour son Initiative fédérale pour un Revenu de base.
    • C'est l'année où la Finlande a démarré la campagne de recueil de des signatures pour son initiative citoyenne pour le Revenu de base.
    • C'est l'année où l'Inde instaure un versement unique et universel en espèce en lieu et place des allocations de diverses natures.
    • C'est aussi le nombre de personnes qui à ce jour ont cliqué « J'aime » sur cette page.

    Les petits ruisseaux font les grandes rivières. Chaque nouveau soutien compte. Continuez à parler du Revenu de base autour de vous, que nous soyons bientôt 3000.

    Car comme disait Corneille, dans le Cid :
    « Nous partîmes cinq cents ; mais par un prompt renfort,
    Nous nous vîmes trois mille en arrivant au port. »


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  • Le projet de barrage flottant de Boyan SlatErwin Zwart / Fabrique Computer Graphics

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    Boyan Slat a 19 ans, habite aux Pays-Bas et a commencé à étudier la possibilité de débarrasser les océans du monde des millions de tonnes de plastique qui les polluent à l’occasion de son projet de dernière année de lycée.

    Après quelques centaines d’heures de travail supplémentaire, il a présenté à une conférence TEDx à Delft, en octobre 2012, un concept qui pourrait permettre de retirer des océans 7,25 millions de tonnes de plastique en 5 années à peine. Le projet, sur lequel travaillent à présent 50 ingénieurs, n’en est qu’à un quart de son étude de faisabilité. S’il vient à être réalisé, les bénéfices pour la faune et la flore océanique ainsi que pour nous, qui nous trouvons au bout de la chaîne alimentaire, seront exceptionnels.

     

    Il y a dans les océans de la planète cinq principaux gyres océaniques, gigantesques tourbillons animés par la force de Coriolis. Tous entraînent dans leurs courants des tonnes de déchets, qui y restent bloqués éternellement. On y trouve en très grande majorité des plastiques, auxquels il faut généralement entre 50 et 1.000 ans pour se décomposer. Le plus tristement célèbre de ces gyres se trouve dans l’Océan Pacifique et a été surnommé vortex de déchets ou «8e continent» (les Américains comptent l’Amérique du Nord et l’Amérique du Sud comme deux continents séparés; le 7e continent est l’Antarctique). Il a été dit que les déchets y recouvrent une surface deux fois grande comme le Texas, mais il n’existe en fait pas d’estimation fiable de la taille de cette soupe de plastique. Et pour cause, le 8e continent est transparent pour les satellites. On ne peut voir les tonnes de microdébris (issus de la dégradation de déchets plastiques) qui le composent que depuis le pont d’un bateau. Ils sont pourtant plus nombreux que le plancton. Ces déchets plastiques, ainsi que d’autres plus gros –tels les bouchons de bouteille ou les filets perdus en mer– sont consommés par les oiseaux, les poissons et les mammifères marins.

    Echantillon d'eau prélevée dans le vortex de déchets de l'Océan Pacifique. Emilymcmc via Flickr CC

    On trouve régulièrement baleines à bosse et cachalots, échoués sur les côtes, des dizaines de kilos de matières plastiques obstruant leurs estomacs. On estime à une centaine de millions les oiseaux marins qui meurent dans les mêmes conditions, notamment des albatros qui confondent les bouchons de plastique avec de la nourriture. Les poissons consomment eux aussi des microdébris, qui transportent des polluants tels que PCB et DDT. Ceux-ci se retrouvent ensuite dans nos assiettes.

    Par ailleurs, Boyan Slat rapporte que les déchets plastiques sont responsables chaque année de dégats à hauteur d’un milliard de dollars sur les navires américains. Les conséquences économiques sont nombreuses, notamment pour le tourisme lorsque les plages sont touchées.

    Le capitaine Charles Moore, qui a découvert le vortex de déchets du Nord Pacifique, a estimé qu’il faudrait 79.000 années pour tout nettoyer. Mais c’est avec les moyens conventionnels, c’est-à-dire en utilisant des bateaux équipés de filets qui pêcheraient des déchets plastiques.

    Boyan Slat propose une solution radicalement différente. Au lieu d’utiliser de l’énergie pour se battre contre les courants marins, le projet Ocean Cleanup s’appuierait sur des bases fixes et laisserait les courants amener les déchets dans ses barrages flottants. Selon une hypothèse qui nécessite d’être testée, le plancton pourrait nager en dessous des barrages mais même les plus petits morceaux de plastique resteraient bloqués.

    Le projet pourrait même se révéler rentable, le recyclage des matières plastiques récupérées pouvant rapporter 500 millions de dollars. The Ocean Cleanup Foundation lancera prochainement une campagne de crowdfunding.

    Même si ce projet venait à se concrétiser, le travail de prévention et de réduction de la production de plastique devrait continuer en parallèle.

    Photo: Le projet de barrage flottant de Boyan Slat Erwin Zwart / Fabrique Computer Graphics

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  • Finis les pleins alimentaires au supermarché pour ce couple canadien. Désormais, ils produisent tout eux mêmes... dans la joie, et la bonne humeur !

    copié/collé de positivr.fr - Par Axel Leclercq
     
    Atteindre l’autosuffisance alimentaire peut sembler utopique. Surtout quand vous avez déjà des enfants et un boulot qui vous occupe à plein temps. Pourtant, cette utopie, Robin LeBlanc et Rebecca Huot en ont fait une réalité… À force de passion, de patience et de bon sens, ce couple de canadiens est en effet parvenu à produire une nourriture riche, variée et biologique en quantité plus que suffisante pour toute la famille ! Rencontre avec une famille en or…
     
    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     Source : Ici Radio Canada
     
    Robin LeBlanc et Rebecca Huot, tous deux enseignants, ont acheté une ferme dans le Nouveau-Brunswick. Leur objectif : viser l’autonomie alimentaire… mais pas à n’importe quelle condition : pour Rebecca, il était hors de question que cette ambition les prive de quoi que ce soit !

     « Je n’allais pas me contenter de manger des carottes et des navets. »

    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     
    Le couple a donc énormément bossé et étudié un maximum de techniques agricoles pour diversifier au maximum tout ce qu’il comptait produire. Et, aujourd'hui, le résultat est là. Robin LeBlanc et Rebecca Huot ne manquent de rien. Ils ont des fruits et des légumes à ne plus savoir qu’en faire, mais pas seulement : ils ont aussi de la viande, des huiles, du lait, des céréales du fromage, du cidre, des sauces, des pâtes et toute sorte de conserve à n’en plus finir !
     

     

     

    Rebecca Huot :

    « Moi, j’ai pas de stress à savoir d’où vient ma nourriture, j’ai pas de stress sur le bio, j’ai pas de stress à me demander si ce que me dit l’agriculteur est vrai. Moi, je n’ai pas ça parce que je mange toujours bio et local. »

    Autosuffisance alimentaire, est-ce possible ?
     

    Robin LeBlanc :

    « Je n’en reviens pas qu’on puisse faire tout ça. Qu’il y ait de la nourriture qui rentre dans les congélateurs alors qu’il nous en reste encore de l’année d’avant et que la salle de conserves est encore pleine…  Je n’en reviens pas (…) On s’en va vers quelque chose de nouveau. je n’ai pas du tout l’impression de reculer. »

    Voilà une belle expérience particulièrement réussie et inspirante !
     

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