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  • Il faudra s'entraider, les fourmis nous le montrent

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  • Beni Nsemi MuntuKoyeba par Beni Nsemi, Muntu

    Pour une nouvelle Humanité fondée sur l'Amour, la Fraternité et le Partage.

    Un blog où vous trouverez des vidéos, livres, une kyrielle d'informations pour une nouvelle humanité.


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  • L'humusation, pratique funéraire 100% respectueuse de l'environnement

    www.humusation.org


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  • Notre planète existe depuis des millions d’années. Elle a connu dans le passé de nombreuses civilisations florissantes. Mais pour différentes raisons, ces civilisations ont périclité, ne laissant à l’humanité que quelques traces de leur existence qu’il nous appartient encore de déchiffrer. Durant ces derniers siècles, les hommes qui vécurent sur la Terre ont perdu peu à peu le lien avec le Cosmos, avec l’Intelligence de l’Univers et avec Dieu. Quelques uns seulement ont maintenu ce lien.

    L’histoire récente montre qu’au cours des décennies passées, les recherches scientifiques furent la plupart du temps destinées, non pas à faciliter le bien-être des hommes, mais plutôt à permettre à des groupes d’individus de contrôler ou de détruire d’autres groupes d’individus. Le système des priorités s’est établi de telle sorte que les gouvernements qui possèdent les armes de destruction massive disposent aussi d’une voix qui pèse lourdement sur l’échiquier international.

    Cette orientation est pourtant catastrophique, car d’après la Loi universelle, tout ce que l’homme pense, ressent et réalise se répercute sur l’univers et sur la nature. Ces derniers temps, on a assisté à de nombreuses catastrophes naturelles en réaction à l’agression des hommes. Nos élites scientifiques en sont arrivées à un tel degré d’aveuglement dans leur insatiable quête d’innovation technologique que les systèmes qu’elles ont créés et développés engendrent aujourd’hui bien plus de sinistres, d’avaries et de catastrophes qu’ils n’apportent de bien-être aux populations. La loi du profit a conduit les hommes à détruire leur environnement et a débouché sur l’insécurité écologique. La terre est empoisonnée, l’air est devenu irrespirable et l’eau du robinet dangereuse à consommer.

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    De plus en plus de personnes comprennent aujourd’hui l’urgente nécessité de réformer ce système basé sur l’exploitation de la nature. Et l’humanité compte une fois de plus sur les scientifiques pour l’extraire du pétrin dans lequel elle s’est enlisée. La plupart des gens considèrent encore la science traditionnelle comme la plus haute forme de connaissance. Pourtant, les succès remportés par les tenants de l’orthodoxie scientifique ne sont généralement qu’éphémères et reposent sur une destruction massive de l’environnement et de la biodiversité. Ainsi, la résolution des problèmes énergétiques par le nucléaire, le fossile ou l’hydraulique, expose en permanence l’humanité à des catastrophes contre lesquelles il n’existe aucune assurance dans aucun des systèmes construits rationnellement par la science officielle.

    Aussi longtemps que les scientifiques n’auront pas compris que les remèdes extérieurs ne peuvent pas apporter de solution durable aux problèmes actuels, les catastrophes continueront à se multiplier, car la solution à tous les problèmes se trouve dans l’homme. Selon l’académicien russe Grigori Petrovitch Grabovoï, la clé de la compréhension de l’univers passe nécessairement par des méthodes irrationnelles, ou plutôt para-rationnelles, c’est-à-dire par la connaissance de l’âme, de l’esprit et de la conscience. Selon lui, créer des nouvelles machines à énergie libre, changer instantanément le cours des événements négatifs, guérir toutes les maladies, régénérer n’importe quel organe du corps humain, tout cela est réalisable à condition d’accepter le postulat qu’il soit possible de créer à partir de la conscience de l’Âme, ce qui bien sûr revient à accepter l’idée de Dieu ou tout au moins d’une Intelligence Créatrice primordiale à laquelle tout est connecté et qui englobe tout ce qui est.

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    Grigori Petrovich Grabovoï 

    Né en 1963 dans un petit village du Kazakhstan, Grigori Petrovich Grabovoï est un brillant scientifique, membre de l’Académie Russe des Sciences et conseiller du Service de l’Aviation Fédérale Russe. Il est l’auteur d’étonnants travaux et découvertes sur le champ créatif de l’information, dont la finalité est de créer ou de modifier la matière à partir d’une technologie de traitement de l’information qu’il a lui-même mise au point et développée. Cette technologie permet d’archiver les modèles de n’importe quel objet en n’importe quel endroit du continuum espace-temps, et de les modifier ou de les reproduire en y corrigeant certaines données informationnelles tout en en conservant d’autres.

    Ses dons de clairvoyance, de prédiction et de traitement de l’information l’ont rendu célèbre en Russie, le gouvernement russe ayant fait appel à lui à de nombreuses reprises pour examiner et solutionner des problèmes survenus à bord de trains, d’avions, de pipe-lines, de gazoducs, de la station orbitale MIR. C’est également lui qui a résolu les problèmes à l’origine du crash de l’une des navettes spatiales Atlantis, problèmes qui, grâce à lui, ne se sont plus jamais reproduits par la suite sur d’autres navettes.

    Il est capable de réaliser ce que certains pourraient avoir tendance à considérer comme des "miracles", par exemple téléporter un objet physique à une distance éloignée ou faire traverser un objet solide par un autre objet solide sans aucune destruction.


    Grabovoï, magicien de la science

    Grabovoï peut également régénérer n’importe quel corps organique grâce à une application informatique qu’il a mise au point du principe selon lequel tout, dans l’univers, depuis les atomes et les micro-particules jusqu’aux systèmes solaires est constitué d’information. Lorsque apparaît un dysfonctionnement au sein d’un organe ou d’un corps physique, il suffit, pour le régénérer, d’en extraire l’information défectueuse et cacophonique et de la remplacer par de l’information saine et harmonieuse, de l’information compatible avec la fréquence qui lui correspond au sein de la Conscience universelle.

    Des centaines de personnes atteintes de maladies présumées incurables, telles que le SIDA au quatrième stade, ont été guéries sans intervention physique. Ces guérisons "inexpliquées" ont pour la plupart été certifiées par des documents notariés. Mais les premiers témoins en sont évidemment les "miraculés" eux-mêmes.


    Grabovoï, guérisseur

    Toutes les applications mises au point par Grabovoï se réalisent sans aucune destruction. Au contraire, de grandes catastrophes ont été évitées grâce à lui. Il s’occupe uniquement de restaurer la connexion à l’équilibre et à l’harmonie universelle originels au sein des particules contenant une information perturbée à cause de la folie de l’homme et de sa méconnaissance des Lois cosmiques.

    Les réalisations de Grabovoï sont absolument uniques. S’il fallait résumer le sujet en deux mots, ce serait le mot "conscience" et le mot "information". Selon lui, tout l’univers est de l’information. Il dit que dans l’univers il n’y a rien d’autre que des objets organisés en fonction de l’information qu’ils renferment et des liens permettant de connecter toutes les informations entre elles. Dans son essence, l’univers n’est qu’un vaste système informationnel. Le niveau de développement le plus élevé de ce système est la conscience de l’information. La conscience dirige, sans la moindre exception, toute l’élaboration de l’univers. N’importe quel objet, depuis les particules élémentaires, les atomes, les molécules, et jusqu’aux galaxies possède sa propre conscience. Celui qui arrivera à gouverner ces consciences arrivera à gouverner l’univers.

    Grigori Petrovitch Grabovoï est parvenu à démontrer que la conscience de l’homme est un élément de l’univers dans lequel tous les éléments sont en interaction. Aussi, le changement de la conscience de l’individu entraîne le changement de tous les autres éléments de l’univers. Il a dégagé une loi d’obtention de l’énergie sans jamais compromettre l’équilibre des processus de création et sans jamais détruire l’objet qui la reçoit. Il a démontré le principe d’un fonctionnement infini de l’objet, ce qui, pour un individu, équivaut à l’immortalité. À la base de toute cette construction de l’univers, il y a Dieu. Et tout est basé sur l’existence de Dieu.

    À travers le langage strict et parfois austère des formules mathématiques, Grabovoï s’est attaché à démontrer que tous les objets de l’univers rétroagissent instantanément les uns envers les autres quelle que soit la distance qui les sépare. Il y a une Force à laquelle tout est soumis. On peut l’appeler Dieu, Allah ou bien la Raison universelle. Dans l’univers, la rétroaction est instantanée, quel que soit l’endroit où se trouvent les objets. La Bible, le Coran et la Torah procèdent des postulats identiques. « Leur vérité fondamentale s’insère parfaitement dans mes calculs, » affirme-t-il, « et donc mes formulations ne présentent rien de nouveau, simplement une confirmation de ce qui a été donné de là-haut à l’humanité il y a des millénaires. J’ai d’abord démontré l’existence de Dieu à l’aide de formules, et ensuite je les ai découvertes en mon cœur. Les savants qui étudient et expérimentent n’inventent rien, ils ne font que des découvertes. De plus en plus comprennent que la science doit devenir spirituelle, c’est-à-dire orientée vers la découverte de la vie afin de favoriser le développement et l’évolution de l’homme. »

    Face à la demande insistante de ses nombreux adeptes, Grabovoï finit par accepter de présenter sa candidature à l’élection présidentielle russe de 2008. Il cessa dès lors d’être considéré par la nomenklatura comme un allié précieux et un conseiller incontournable à qui l’on pouvait s’adresser chaque fois qu’une catastrophe civile ou militaire était sur le point de se produire ; et il commença à être perçu par les autorités en place comme une menace potentielle.

    Une machination diabolique fut alors orchestrée qui aboutit quelques mois plus tard à son incarcération. Grabovoï fut jeté en prison au terme d’une parodie de procès instruit sur la base de fausses accusations concernant un prétendu complot contre l’État et de prétendues promesses qu’il aurait faites de ressusciter des enfants morts en échange de sommes d’argent exorbitantes. Tout ceci n’était évidemment qu’un montage relayé avec délectation par les associations anti-sectes. Car en réalité, Grabovoï vivait chichement, se contentant du strict minimum nécessaire pour se nourrir, s’habiller et se loger. Il a pourtant passé près de trois années en prison et n’a finalement été libéré qu’au printemps de l’année 2011.

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    Grabovoï jeté en prison au terme d’un simulacre de procès

    En 1995, Grabovoï avait rencontré la célèbre clairvoyante bulgare Vanga, qui était aveugle et très âgée et s’éteignit quelques mois plus tard. Vanga n’a jamais été très connue en Europe ni en Amérique, mais c’était une célébrité, quasiment une star dans les pays de l’ancien bloc soviétique où elle était vénérée sous le nom de "Baba Vanga". Des sommités telles que Brejnev ou Gorbatchev la consultaient régulièrement. Elle avait prédit Tchernobyl, l’attaque du World Trade Center, l’arrivée du premier président noir aux Etats-Unis, sans compter la chute du mur de Berlin, le naufrage du sous-marin nucléaire Koursk, révélant des années à l’avance les dates de ces événements majeurs de l’histoire de l’humanité.

    Lors de son entrevue avec Vanga, elle avait annoncé à Grabovoï qu’il serait appelé à jouer un rôle important dans l’avènement d’une nouvelle civilisation mondiale établie sur la base de rapports entièrement nouveaux entre les hommes, et qu’il devait s’y préparer en se consacrant d’abord à l’évolution des mentalités dans son propre pays, la Russie, car c’est de ce pays que la Lumière spirituelle qui apportera la fraternité entre les hommes doit d’abord jaillir. La vidéo de cette entrevue entre Vanga et Grabovoï fut présentée au public russe juste avant l’ouverture de son procès. Son montage est parfaitement révélateur de la manière dont toute l’information concernant Grabovoï fut à l’époque manipulée, truquée et falsifiée.


    Désinformation concernant Grabovoï

    La réalité est que la science de Grabovoi embrasse tous les aspects de la vie. C’est comme s’il avait inventé une nouvelle forme de mathématiques, et que, sur la base de ces mathématiques-là, on puisse résoudre à peu près n’importe quel problème !

    Il a notamment démontré que la conscience de l’homme est un élément de l’univers et que tous les éléments de la conscience de l’homme sont en interaction avec la Conscience de l’Univers. Tout changement dans la conscience de l’homme entraîne nécessairement le changement de tous les autres éléments de l’univers.

    Il a dégagé une loi d’obtention de l’énergie sans compromettre l’équilibre des processus de création et sans détruire l’objet qui la reçoit. Il a démontré le principe d’un fonctionnement infini de l’objet, ce qui, pour un individu, signifie l’immortalité.

    Grabovoï a ouvert la voie vers une source intarissable d’énergie. Il ne s’agit pas d’une énergie ordinaire, mais d’une énergie ayant une composante morale. Cette énergie est uniquement destinée à la construction. Il n’est pas possible de l’utiliser pour la destruction, contrairement à celle utilisée par la science traditionnelle.

    Einstein avait découvert la formule E = MC². Elle est désormais connue de toute l’humanité et établit que l’énergie d’un corps est égale à sa masse multipliée par le carré de la vitesse de la lumière dans le vide. Donc d’où vient l’énergie ? De la masse. Comment est-elle utilisée ? On peut l’utiliser dans les centrales nucléaires. Mais on récolte Tchernobyl, on récolte Fukushima. On récolte des problèmes, parce que cette énergie ne se préoccupe pas de qui va l’utiliser et dans quel but. Au contraire, l’énergie définie par Grigori Pitrovitch Grabovoï place cette préoccupation au premier rang de toutes les préoccupations, loin devant toutes les autres. Pourquoi ? Parce que pour Dieu, tout est vivant, y compris l’énergie.

    C’est pourquoi Grabovoï a complété la formule E = MC² par la formule E = VS dans laquelle V représente le volume et S la vitesse de perception du volume. En associant ces deux formules, on peut en déduire que MC² = VS. Et voilà la source d’obtention de la masse : M = VS / C². La source de la masse formant la planète, les continents, les terres à propos desquelles luttent les Juifs et les Arabes, est en réalité intarissable, puisque tout dépend de la conscience que nous avons de la vitesse de son déplacement. Voilà pourquoi Grabovoï affirme que la conscience de la matière est entre nos mains, qu’elle est dans notre conscience, et que par conséquent nous pouvons créer toutes les terres nécessaires pour qu’enfin cessent les disputes, les querelles et surtout les guerres. Pour y parvenir, une seule condition est nécessaire : il faut que tout le monde puisse accéder à la conscience unitaire pour y créer l’harmonie.

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    Selon Grabovoï, le devoir de tous les hommes est d’apprendre à gouverner leur conscience. Si un seul homme n’est pas capable de le faire, alors tout le système devient instable. Étant donné que tout dans l’univers comporte de l’information, on peut la prendre et la modifier dans le sens positif. Alors l’univers changera, changera vers le meilleur. Le principal problème actuel est que les hommes ne savent pas comment utiliser l’information, comment la regarder. La clé de la compréhension de tout ce qui se trouve dans l’univers et dans le corps physique de l’homme et l’explication de comment tout cela interagit se trouve à l’intérieur de la conscience. La grandeur et la diversité de l’univers et de ses espaces commence dans la conscience. Pour créer, l’homme doit simplement prendre conscience qu’il est un véritable créateur. Et pour cela, il lui faut élargir sa conscience et l’amener jusqu’à la Conscience universelle.

    Il n’est si pas facile d’amener sa conscience jusqu’à l’énergie d’un esprit pur et de percevoir les connaissances au niveau de l’âme. Et il est encore plus difficile de percevoir la vie comme un tout et d’en prendre réellement conscience. Mais ceci est la voie, la voie du salut pour tous.

    Olivier de Rouvroy – Septembre 2011
    D’après les enseignements de Grigori Petrovitch Grabovoï

    P.S. : Beaucoup d’autres informations concernant l’avènement de l’Ère Nouvelle sont présentées dans mon dernier livre.

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  • La bactérie mangeuse de plastique qui pourrait sauver la planèteDes scientifiques japonais ont découvert une nouvelle espèce de bactéries capables de décomposer le plastique.

    Les déchets plastique ont envahi les océans, les détritus flottants s'y amoncellent en de gigantesques amas, se dégradant extrêmement lentement, avec des effets dévastateurs pour la vie animale et l'environnement. Mais la nature contre-attaque : une bactérie mangeuse de plastique vient d'être découverte.

    Elle s'appellera « Ideonella sakaiensis ", ont décidé les scientifiques japonais qui l'ont débusquée. Il s'agit du premier organisme capable de dégrader et d'assimiler complètement le polytéréphtalate d'éthylène (PET), un plastique couramment utilisé dans la fabrication des bouteilles, des cartes au format « carte de crédit " et des emballages jetables de toutes sortes.

    Comment mange-t-elle du plastique ?

    Si de l'extérieur le plastique semble une matière uniforme, il s'agit en fait d'une substance polymère, dérivée du pétrole, c'est-à-dire composée d'une succession de petites molécules. Ces plastiques synthétiques existant depuis moins d'un siècle, les micro-organismes n'ont pas eu le temps de développer une trousse d'outils biochimiques pour s'en nourrir. Sauf la « Ideonella sakaiensis ».

    Cette nouvelle espèce « hydrolise » le plastique. Elle le décompose en sécrétant deux enzymes, qui s'attaquent directement à ses liaisons moléculaires. Dans son rapport publié vendredi 11 mars dans la revue Science, l'équipe de l'Université des arts et techniques de Kyoto explique comment elle a dû passer au crible des centaines d'échantillons environnementaux avant de repérer cette colonie d'organismes, qui l'utilisait comme source de carbone, nécessaire à sa croissance.

    Les bactéries nous sauveront-elles de l'invasion plastique ?

    Ce régime inattendu chez les bactéries pourrait se révéler d'une grande utilité. Il suffirait de lancer des cultures de bactéries pour faire disparaître sans effort nos montagnes de détritus. Mais on en est encore loin.

    Même si la « Ideonella sakaiensis » est plutôt vorace en comparaison à d'autres organismes, elle n'est parvenue à dégrader totalement un morceau de plastique - de la taille d'un ongle de pouce - qu'en l'espace de six semaines, dans un environnement à 30 degrés, lors des tests. Un processus très lent face à notre folle addiction au plastique.

    « Nous devons améliorer la bactérie pour la rendre plus puissante, le génie génétique pourrait s'appliquer dans ce domaine », soutient Kohei Oda, de l'équipe de recherche. Une façon d'accélérer les choses pourrait être de transférer les gènes de fabrication des deux enzymes dans une bactérie se développant plus rapidement comme l'Escherichia Coli, propose le chercheur allemand Uwe Bornscheuer, dans le New Scientist.

    « Je suis sûr que nous allons trouver dans la nature d'autres microbes ayant évolué de façon à dégrader d'autres matières plastiques, poursuit-il. Il s'agit juste de chercher correctement, et d'avoir de la patience, à l'image de cette équipe japonaise ».


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  • Autosuffisante et parfaitement intégrée à son environnement, la nouvelle cité produira très peu de CO2... et en consommera énormément. Présentations.

    La province de Guangxi, au sud de la Chine, va bientôt accueillir la première ville-forêt au monde. Gros plan sur un projet architectural pharaonique, écologique et fascinant.

    Stefano Boeri, l’architecte à l’origine de cette idée folle, peut sembler bien ambitieux. Pourtant, dans le domaine, cet italien n’est déjà plus un débutant. On lui doit déjà la construction d’un certain nombre de tours végétales aussi belles que surprenantes, notamment à Milan (on vous en parlait ici).

    Aujourd'hui, il entend juste passer à la vitesse supérieure… 

    Source photos : Stefano Boeri Architetti

    Son objectif ? Bâtir, sur 175 hectares, une ville de 30 000 habitants entièrement conçue pour épouser la nature.

    Cette nouvelle cité fera la part belle au végétal. Ses murs, ses toits et ses couloirs de circulation accueilleront au total 40 000 arbres et un million de plantes. Une véritable petite jungle aux effets bénéfiques sur la qualité de l’air.

    « Une fois construite, la nouvelle ville pourra absorber environ 10 000 tonnes de CO2 et 57 tonnes de polluants par an, tout en produisant presque 900 tonnes d’oxygène. »Source : Stefano Boeri Architetti

    Mais ce n’est pas tout. La présence d’autant de verdure devrait aussi avoir un impact direct sur la température ambiante du site (moins élevée), favoriser l’émergence d’une réelle biodiversité (insectes, oiseaux, plantes) et permettre une isolation phonique (pour une ville moins bruyante).

    Autres points forts : la ville sera 100% autosuffisante en énergies renouvelables (solaires et géothermiques) et elle sera desservie par une ligne ferroviaire électrique accessible aux voitures électriques…

    Deux écoles, un hôpital et des espaces de détente sont d’ores et déjà prévu. Selon The Guardian, l’inauguration de cette grande première mondiale pourrait avoir lieu dès 2020.

    La Chine a un temps été à la traîne en matière d’écologie. Mais, qui sait, avec ce type de projets, ça pourrait bien changer


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